Nous contacterMon panierMon espace clientRechercher une formationSéparateur verticalBouton facebookBouton twitterBouton linkedinBouton youtube 

Success stories François WUNDERLE, 32 ans

Edité le : 15/02/2023
Par Lydia Fournié, journaliste

Après mon baccalauréat, je me suis orienté vers une carrière de compagnon chaudronnier. Par la suite, j’ai exercé pendant quelques années en tant que capitaine de navire sur l’archipel des Comores. C’est à cette époque que j’ai commencé à plonger de manière régulière. De fil en aiguille, j’ai découvert le métier de scaphandrier et j’ai recherché une formation. Le bouche-à-oreille m’a permis de connaître l’Ecole Nationale des Scaphandriers qui venait d’ouvrir ses portes. 

Après mon baccalauréat, je me suis orienté vers une carrière de compagnon chaudronnier. Par la suite, j’ai exercé pendant quelques années en tant que capitaine de navire sur l’archipel des Comores. C’est à cette époque que j’ai commencé à plonger de manière régulière. De fil en aiguille, j’ai découvert le métier de scaphandrier et j’ai recherché une formation. Le bouche-à-oreille m’a permis de connaître l’Ecole Nationale des Scaphandriers qui venait d’ouvrir ses portes.

Fin décembre 2013, j’ai intégré la première session de formation de l’ENS afin d’obtenir ma certification Classe II Mention A. Durant ces 8 semaines de formation j’ai été très bien encadré par des formateurs professionnels et compétents, dans une ambiance familiale, avec beaucoup d’entraide entre les stagiaires.

La formation intensive et très complète, tant sur le plan théorique que pratique, m’a permis d’acquérir les bases solides de ma profession.

Cinq ans plus tard, je garde de très bons souvenirs de mon passage à l’ENS qui m’a permis de tisser des liens forts avec mes instructeurs et les stagiaires.

Une fois ma formation terminée, je me suis directement envolé pour Mayotte pour réaliser mes premiers travaux. Depuis, je n’ai cessé d’évoluer, passant ainsi de scaphandrier à chef d’équipe, puis chef de chantier et enfin chef d’exploitation.

Aujourd’hui, je me sens épanoui et ne regrette pas ce choix professionnel. Le métier de scaphandrier est exigeant physiquement et psychologiquement. Mais dès lors qu’on est passionné, avec une bonne capacité d’adaptation, on ne peut que s’épanouir. Depuis ma sortie de l’ENS, je n’ai pas vécu un seul jour de chômage et j’espère exercer encore longtemps ce métier qui me demande chaque jour le meilleur de moi-même. 

Les autres Succès stories